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Création 2026

Et ton cuir pourrait fendre

Théâtre documenté

Quels regards portons-nous sur les femmes condamnées à de moyennes ou longues peines ? 

Quelles réalités se cachent derrière les murs des prisons ? Au-delà de nos préjugés, de nos fantasmes, des clichés, qui sont ces femmes qui y sont enfermées ? Leurs chemins de vie sont chaotiques, émaillés de violence.

Les femmes incarcérées se retrouvent en rupture sociale, isolées. Leur passage à l’acte entraine un profond sentiment de honte et de culpabilité. Quels récits d’elles-mêmes ces femmes produisent-elles ? Marie Delmarès est allée à la rencontre de femmes sorties de détention pour recueillir leurs témoignages.

« Et ton cuir pourrait fendre » nous invite à découvrir le parcours de 3 ex-détenues qui se livrent sur leur enfance, leur passage à l’acte, leur détention, leur réinsertion. Ces femmes ont fait de leurs épreuves des opportunités de transformation. Entre récit intime et fiction, ces femmes nous invitent à nous pencher avec elles sur l’abîme dans lequel elles ont failli sombré. Et dont elles ressortent plus conscientes que jamais. Prendre la parole est un acte politique qui reste inaccessible à beaucoup de gens. N’est-ce pas la tâche qui nous incombe à nous, artistes, de les faire entendre ?

Inspiration photographique : Axelle de Russé

Texte et mise en scène : Marie Delmarès

Interprétation : Marie Delmarès, Manon Galvin et 1 autre comédienne (En cours)

Chorégraphie : Martine Harmel

Musique : Sophie Bernado

Lumières : Margot Falletty

Scénographie:  Margot Chamberlin

Théâtre

Espace scénique : 8mx5m minimum
Tout public à partir de 13 ans
Durée : 1h20 environ

Jauge : 250

Production : Compagnie Les Attracteurs étranges

Co-production : CIRCA Pôle National du Cirque, Théâtre du Grand Rond, l'ENAP (option) en cours

Partenaires :  Le Pari - Tarbes en scène, Le tracteur, Théâtre Spirale, l' Association L' ÎLOT, et en cours...

Merci aux femmes qui m'ont confiée leurs histoires, merci à elles pour leur immense confiance, merci à Bruno Hot, Nathalie Devulder et Olivier Grabette, Christine et Olivier Cazenave, 

Crédit photo: Pénélope Godefroy
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